Edwinn ne savait pas quoi faire : Willor était en larmes, éffodré sur son lit.
*C'est peu être l'acool qui le rend sensible comme ça, c'est pas très masculin en tout cas. On dirait un gosse, une fillette.*
C'était pas très simpa de sa part de penser ça mais il était soudain de très mauvaise humeur :
"Si moi j'ai connu ma famille ! Pas beaucoup en temps mais beaucoup trop à mon goût ! Et j'ai pas trouvé ça dure d'être séparé de ma mère ! Au contraire : LIBERATION ça a été quand je suis parti ! De toute façon elle est morte et elle le méritait bien ! Et j'ai pas envis d'en parler donc je m'assirais pas à côté de toi et je pleurerais pas comme une fille sur mon passé ! SEUL LE PRESENT EST IMPORTANT, OK ?!?! En plus on est en période de fêtes, ça serait beaucoup mieux si on évitait les mauvais souvenirs, non ? Tu croi que je vais te raconter ma vie juste par ce que tu m'a raconté en partie de la tienne !? Ca a du être dur pour toi mais désolé vieux, j'ai vécu assez de trucs durs pour ne pas m'encombrer en plus des malheurs des autres ! Maintenant, si tu le permet je vais faire un tour : ya une fête et de plein de gens joyeux là-bas et je vais pas manquer une occasion de m'amuser ! Bonne nuit et joyeuses fêtes !" Il sortit en claquant la porte.
Il était vraiment sur les nerfs. Il marchait dans le froid et cela calmait un peu. Il s'en voulait d'avoir était si direct avec Willor. Il n'avait rien fait de mal. Non, c'était à cause de sa mère : même morte cette %$¤£*µ (<- censuré) continuait à le hanter. Il fallait oublié tout ça, ça ne lui apporterait que des embrouilles... Oui, tout oublier...
Ca y est, il était calmé, il fallait qu'il retourne aus Hivernales, non, il fallait d'abord qu'il aille s'éscuser auprès de Willor. Mais il ne reconnaissait pas l'endroit où il se trouvait. Perdu dans ses pensées haineuse, ses pas l'avait conduient sans qu'il ne s'en rende compte en un lieu qui lui était étrangé. Les arbres autours de lui étaient menaçants, il faisait plus froid que jamais...